
Dans le cadre de la réorganisation du mouvement ou plus exactement de ce qui en restait, les « camarades » décidèrent de m’envoyer en mission politique à Nouadhibou. Depuis l’aventure de 1972, je n’y avais plus reposé pied.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.