C'est là un scénario envisageable, une alternative que bon nombre de politiques et de cadres espèrent voir se profiler à l'horizon, et qui ne ferait certainement pas le bonheur du parti au pouvoir.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).