Depuis quelques temps, des « postings » infamants et diffamants inondent la toile, avec en prime des titres accrocheurs du genre : Scandale au Ministère des Finances : marché de gré-à-gré pour deux cents millions d’ouguiya, ou
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).