L’ambassadeur des États-Unis à Nouakchott, Son Excellence monsieur Mickael Dodman, vient de remettre au Premier ministre un rapport sur la situation des droits de l’homme en Mauritanie.

La promotion du waqf en Mauritanie nécessite un important travail d'élucidation de ses fondements et de la diversité de ses expressions.

J‘ai une question qui me trotte dans la tête depuis vraiment très longtemps.

Je crois que le gouvernement a compris que la presse, ce n’est rien. Pas plus que cela. Tout peut se passer sans elle. Des responsables peuvent ainsi fort bien se réunir sans la presse.

On ne sait jamais de quoi demain sera fait. Une totale évidence. Ni qui sera quoi demain. Cela va sans dire.

Ce n’est pas que d’aujourd’hui qu’on parle des militaires. Ou, si vous préférez, que les militaires font parler d’eux. Nuance... Concédez-la moi ou alors… garde-à-vous !

En réalité à quelque chose malheur est bon. Quoiqu’on dise, il y a toujours un bon côté en toute situation. Nous voilà donc déjà avec deux bons ; autrement dit, bonbon. C’est bon. Mais personne ne peut dire que Corona c’est bon !

Les nominations aux hauts postes de responsabilité se suivent et se ressemblent… sans qu'aucune ne fasse l'unanimité.

 « Tous les hommes sont égaux entre eux, mais certains le sont plus que d’autres (1) ». Cette boutade résume à elle seule l’ambiguïté des grandes déclarations humanistes des trois derniers siècles.

Waqf et démocratie : quoique la quasi-unanimité populaire en matière religieuse ne fasse en Mauritanie aucun doute, un tel concept pourrait heurter dans le contexte international contemporain.