
Le Ramadhan, mois béni, réservé aux prières désabusées, et aux macérations ne devait pas connaitre de paroles ou d’articles écrits à la plume trempée dans le fiel ou le vitriol.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.