
« Nous avons actuellement une médecine qui soigne les riches et les fonctionnaires et délaisse les pauvres. » « Il faut que l’Etat cesse de perfuser indéfiniment les hôpitaux qui sont actuellement tous à l’ago

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.