Les affaires de corruption, de détournement des biens publics, de délinquance financière semblent être de mauvaises habitudes bien ancrées dans la pratique mauritanienne.
Les Mauritaniens iront donc aux urnes le 29 Juin pour réélire le président Ghazwani. « Pourquoi lui et pas un autre ? », serait-on tenté de se demander. Tout simplement parce que c’est une élection sans enjeu. Il n’existe, à ce jour, aucun candidat capable de lui porter contradiction.